Un parc aquatique au Parc de l’Île Melville
MAURICIE. Le Parc de l’Île Melville compte sur une nouveauté cet été: l’Aqua Radical.
Si on se fie au succès remporté par l’Aquazilla au Parc Jean-Drapeau à Montréal ou le Parc Octopus au Lac Saint-Jean, l’Aqua Radical risque d’être l’une des attractions les plus populaires cet été en Mauricie. D’une dimension de 150 pieds par 100 pieds, la structure gonflable offrira un environnement sécuritaire où chacun pourra se surpasser physiquement et mentalement, tout en s’amusant en plein air.
La sécurité sera assurée en tout temps par six aides-sauveteurs et un sauveteur national et chacun des participants devra porter une vestes de flottaison fournie avant d’accéder à la structure. Avant taxes, le coût d’entrée sera de 18$ pour les enfants de 6 à 12 ans (43 pouces minimum) et de 23$ pour les 13 ans et plus pour une durée d’une heure. Un maximum de 80 personnes à la fois sera permis.
L’Aqua Radical ouvrira officiellement ce vendredi 23 juin et la fin de saison est prévue pour le 4 septembre. Le site sera accessible de 10h à 19h et les participants sont priés d’arriver 30 minutes à l’avance sur leur heure de réservation. Les clients pourront réserver par téléphone (819 536-7155) ou par courriel (admin@aquaradical.com)
La structure comprend une dizaine de modules dont des glissades, une trampoline, un ballon rebondissants, etc. Il s’agit d’un parcours, mais les participants ne sont pas tenus de suivre un itinéraire précis. Au niveau de la profondeur de l’eau, elle est d’environ quatre mètres à l’emplacement où la structure a été fixée à l’aide de câbles reliés à des points d’attache au sol.
Le directeur général du Parc de l’Île Melville, Luc Désaulniers, est sûr de voir cette nouveauté remporter un vif succès cet été. Des ententes ont été conclues avec la Cité de l’énergie, le Ranch Dupont et Abraska, son parcours d’arbre en arbre, pour qu’une entrée à Aqua Radical donne des rabais aux autres attraits. Il s’agit pour le directeur de la concrétisation d’un projet initié il y a deux ans et pour lequel il a dû obtenir des autorisations du ministère de l’Environnement et du ministère de la Faune.