Défis du Parc: rencontre avec Kim Guilbert 

TÉMOIGNAGE. Encore cette année, l’Hebdo et l’organisation des Défis du Parc partent à la rencontre de participants, de bénévoles et de personnes dévouées qui participeront aux Défis du Parc en septembre. À travers leurs chroniques, ils vous partagent leur parcours et leurs motivations à prendre part à cet événement de renommée, et ce, année après année!

Arrivée à Shawinigan depuis un an et demi, Kim Guilbert participera aux Défis du Parc pour la toute première fois. Au sein de l’équipe féminine des Roses, elle sera sur la ligne de départ du Défi Vélo 57 km le samedi 7 septembre, de même que du Défi Course en sentier 7 km, le lendemain.

Originaire d’Amos, en Abitibi, la femme de 27 ans s’est installée dans la région avec son conjoint après leurs études, et a commencé à travailler comme physiothérapeute à la clinique PCN Grand-Mère. 

« En arrivant dans une nouvelle ville, j’ai voulu apprendre à connaitre de nouvelles personnes, m’informer et m’intégrer progressivement aux activités sportives disponibles dans le coin, raconte-t-elle. Une collègue m’a recommandé de m’inscrire dans les Roses pour faire partie d’une communauté de femmes motivées et inspirantes. Je me suis donc lancée et j’en suis à ma première année en tant que Rose. C’est d’ailleurs grâces à elles que je me suis inscrite aux Défis du Parc. J’y ai assisté l’an dernier pour encourager mon conjoint qui faisait l’épreuve de vélo et j’ai pu constater l’ampleur de l’événement. C’est donc cette année que je me familiarise au vélo de route et que je renoue avec la course à pied, un sport que j’affectionne. »

À vos yeux, en quoi les Défis du Parc se démarquent-ils des autres événements ?

Kim Guilbert considère que les Défis du Parc sont particulièrement intéressants pour le challenge qu’ils proposent avec leurs dénivelés, tant pour les cyclistes que les coureurs, mais aussi pour la route et la beauté de la nature.

« Moi qui suis une fille de nature, j’apprends encore à connaitre le parc de la Mauricie, un superbe terrain de jeu juste à côté de chez nous, et ses paysages m’épatent à tous les coups. »

Qu’auriez-vous à dire à une personne qui n’ose pas embarquer dans une telle aventure?

« Je lui dirais que petit train va loin. C’est un bel objectif et en se préparant bien tout se fait. Si la planification d’entraînement vous inquiète, sachez que les Roses ont de supers programmes d’entraînement progressifs en vue de l’événement. Vous pourriez vous joindre à l’équipe! Bien sûr, il y a un chrono durant de tels défis, mais c’est secondaire à côté de la satisfaction d’y participer! J’ai eu un petit « feeling » en m’inscrivant et j’ai hâte d’être sur la ligne de départ… et d’arrivée! On n’avance pas tous à la même vitesse et c’est bien correct. Il faut s’écouter. Et puis, à quand votre inscription à vous?