Les candidats de la CAQ fiers de leur campagne
ÉLECTIONS. Les candidats de la région pour la Coalition Avenir Québec (CAQ), Jean Boulet (Trois-Rivières), Sonia LeBel (Champlain), Simon Allaire (Maskinongé), Marie-Louise Tardif (Laviolette – St-Maurice) et Donald Martel (Nicolet-Bécancour), ont dressé le bilan de leur campagne électorale.
La conférence s’est déroulée sur le site de la centrale hydroélectrique de La Gabelle.
«Cet endroit revêt une symbolique particulière, puisque la centrale puise son énergie dans la puissance des eaux du Saint-Maurice, qui est le fruit de plusieurs rivières qui s’y jettent et alimentent les turbines du barrage. À l’image de la centrale, la CAQ tire son énergie des candidats qui ont bien voulu mettre leur expérience au service des Québécois et ce sont leurs forces mises en commun qui insuffleront bientôt une énergie nouvelle à toute la région», a imagé le candidat Donald Martel.
Jean Boulet, candidat dans Trois-Rivières, se dit être encore plus convaincu de l’importance de redonner aux régions toute la considération qu’elles méritent.
«Je croyais déjà bien saisir les enjeux de Trois-Rivières, mais après avoir rencontré une foule d’acteurs socio-économiques et autant de citoyens, je suis convaincu que nous avons besoin d’un leadership renouvelé et plus fort à Québec. On doit absolument remettre la Mauricie à l’agenda du prochain gouvernement», indique M. Boulet.
Quant à Sonia LeBel, elle s’est dite particulièrement heureuse d’avoir rapidement pu établir des relations de confiance avec les gens du comté de Champlain.
«Les maires et les mairesses des MRC de Mékinac et des Chenaux ont été d’une grande générosité à mon endroit et m’ont permis de maîtriser les dossiers importants en peu de temps. Je vais donc m’assurer d’être très présente dans le comté et de défendre ses intérêts, surtout en ce qui a trait à l’accès à l’Internet haute vitesse. C’est la base pour revitaliser certains villages. Les régions ont été oubliées assez longtemps. Il faut que ça change et avec la CAQ, ça va changer», a-t-elle assuré.
Simon Allaire, de son côté, affirme que sa stratégie d’utiliser un local mobile s’est avérée une excellente idée. «J’ai vraiment pu aller à la rencontre des gens de Maskinongé, dans leur localité, dans leur réalité. Je n’aurais jamais pu échanger avec autant de gens si j’avais eu un local électoral traditionnel. Ça m’a permis d’encore mieux comprendre leurs besoins », estime-t-il. «Je suis maintenant prêt à mettre toute mon expertise en développement économique régional au service des citoyens. Je travaille actuellement sur une stratégie concrète pour le secteur industriel et j’ai hâte de la mettre en œuvre», souligne M. Allaire.
Dans le comté de Laviolette–St-Maurice, la candidate Marie-Louise Tardif affirme avoir fait campagne avec vigueur. «Je suis une femme d’action et de conviction. Je n’ai pas peur de foncer pour défendre les intérêts des citoyens et c’est exactement ce que je ferai pour mon comté. Le territoire est vaste et les besoins sont grands, mais je crois que j’amènerai un regard nouveau et une énergie nouvelle dans certains dossiers comme dans celui de la Belgo et de l’accès à des soins de santé de proximité. J’ai parcouru énormément de kilomètres au cours de la campagne et je ne m’arrêterai pas après le 1er octobre. Ce n’est que le début», promet Mme Tardif.
Selon Donald Martel, les efforts que la CAQ a mis pour recruter des candidats de qualité se sont avérés payants. Ce dernier s’est dit totalement satisfait du travail accompli dans les dernières semaines par ses nouveaux collègues.
«Nous avons mené une campagne solide et positive qui a beaucoup interpellé les électeurs. On l’a tous entendu à tous les jours: Les gens veulent du changement. Maintenant, soyez assurés d’une chose: la Coalition Avenir Québec est prête à gouverner. Il est grand temps qu’un vent nouveau souffle sur la Mauricie et le Centre-du-Québec. Et avec un gouvernement de la CAQ, ce sont les régions qui seront enfin au pouvoir», a conclu M. Martel.