Élections municipales: Wellie Denoncourt brigue le district des Hêtres
Un nouveau candidat annonce sa candidature aux élections municipales de Shawinigan. Wellie Denoncourt sollicitera le poste de conseiller dans le district des Hêtres.
«Mon principal objectif comme conseiller municipal sera d’écouter ce que les citoyens ont à dire et d’agir en ce sens. Pendant la campagne électorale, je vais consulter les citoyens de mon quartier, ce qu’ils veulent, ce qu’ils espèrent, je vais entendre et comprendre», indique d’entrée de jeu le candidat.
Dans l’objectif d’être à l’écoute de ses concitoyens, M. Denoncourt a créé un site web qui permettra de les consulter et d’échanger avec eux (www.wellie.ca).
«Je ne vais pas prendre le rôle du maire, je vais plutôt l’appuyer et le conseiller, c’est le titre de l’emploi «conseiller». Je veux être la personne qui va mettre de l’huile dans l’engrenage et non pas des grains de sable et encore moins de l’huile sur le feu. Je veux être la personne qui va mettre son grain de sel dans les projets, pour donner une saveur aux goûts de mes électeurs. Je crois que le maire Michel Angers mène bien la barque, il est bon navigateur, alors il sera le capitaine et moi son second. Je serai celui qui conseille, qui sait éviter les écueils, celui qui met l’ancre ou lance les amarres.»
Wellie Denoncourt souhaite influencer les grandes orientations de la ville avec les idées des idées de son secteur.
«Je crois en Michel Angers, il fait un travail qui n’est pas facile. Si les citoyens choisissent d’élire quelqu’un d’autre, je serai avec lui, il n’y aura pas de guéguerre, le maire est élu par les citoyens, pour diriger et représenter la ville de Shawinigan. On avance plus en collaborant et en influençant qu’en résistant. Ce que je veux, c’est que les choses avancent et s’améliorent. Je vais en campagne électorale, pas en guerre, je veux la paix et une qualité de vie. Je veux participer à améliorer ma ville, c’est pour cela entre autres que je vais promouvoir tout ce qui s’appelle achats locaux ou qualité de vie.»
«Comme tout le monde, je paie mes taxes à contrecœur, ajoute-t-il. Dans un monde imaginaire, il n’y aurait pas de taxes, mais les mondes imaginaires sont des chimères. J’ai les deux pieds sur terre, je vais continuer à payer ces taxes qui m’horripilent, mais je vais surveiller et m’assurer qu’il n’y ait pas d’extravagances, de contresens ou de frivolités. Plus d’achats locaux, une qualité de vie meilleure et moins de taxes.»
«Voici ma proposition, je vais y travailler, croyez en moi et soyez avec moi!»