Protecteur visuel du citoyen

La sécurité de l’avoir est bien minime en regard de la sécurité d’être de l’honnête et paisible citoyen. Jadis, «l’antidote» à sa protection personnelle et «l’antibiotique» à la sécurité collective pouvaient se résumer à la surveillance de quartier ou à celle d’un gardien humain de sécurité.

De nos jours, compte tenu des agressions gratuites de la méchanceté humaine de nos contemporains, il devient essentiel de s’équiper des outils de la modernité pour s’offrir la protection de ses biens et de sa personne, jour et nuit, sept jours semaine.

Cet instrument de protection par surveillance omniprésente est la caméra, de me confier Me Jean Trépanier, qui bénéficie d’une retraite bien méritée depuis novembre 2007 à la suite de 30 ans de pratique et de la rédaction de 15 000 contrats enregistrés à la Chambre des Notaires du Québec dont il est toujours membre.

Présentement, autant à Shawinigan qu’à Montréal, Me Jean, président de l’Association des propriétaires immobiliers du Centre-de-la-Mauricie travaille avec acharnement à mettre en place les systèmes audio-visuels susceptibles de se débarrasser des indésirables, véritable plaie et pourriture sociales qui minent la tranquillité du noble citoyen. À la maison comme à son commerce et à son industrie, les caméras protègent les aires communes contre la violence du voleur et du violeur qui détruisent le moral, la quiétude et la sécurité de la population.

À peu de frais

«La caméra, selon Me Jean, rend le vol ou le viol incontestable. Leurs dispositifs d’enregistrement peuvent contenir jusqu’à deux cents jours de mémoire. Ces systèmes de surveillance veulent s’attaquer à la vermine humaine méprisable, à la canaille vile et malhonnête et non à la pauvreté. Ces techniques modernes de surveillance sont des solutions avant-gardistes d’intimidation, de protection et de prévention», dira le notaire Jean d’un ton plus modéré.

Même que les compagnies d’assurance des biens mobiliers et immobiliers peuvent réviser à la baisse les taux exigés pour les protections désirées. Par voie de conséquence, renchérira Me Trépanier, le citoyen, bien équipé de caméras, devient un précieux collaborateur et partenaire du policier enquêteur.

«Pour contrer la criminalité, de me certifier Me Jean, tous les immeubles dont je suis propriétaire seront munis de huit caméras reliées à des ordinateurs personnels pour mieux protéger les lieux et ceux qui s’y trouvent. Ces systèmes de surveillance sont devenus suffisamment complexes pour vous permettent le visionnement à distance des images captées, en déterminer la date et l’heure de leur capture avec une étonnante clarté. Enfin, point n’est besoin de recourir aux soins de spécialistes ou à des électriciens pour leur installation.»

Aussi invraisemblable que vrai

«Chez Costco, d’admettre Me Jean Trépanier protecteur visuel du citoyen, on peut se procurer quatre caméras de sécurité à mouvement panoramique et d’inclinaison, à vision nocturne et à détection de mouvement pour la modique somme avoisinant les cinq cents dollars. L’installation permet de rendre les caméras visibles ou difficiles à détecter. À nous tous, maintenant, de nous unir, individus comme commerçants et industriels pour décourager les voleurs, les vandales et les violeurs potentiels.»

En conclusion, comme l’effort est la meilleure sécurité de l’emploi, il faut se conscientiser et investir les «efforts financiers» pour se protéger individuellement et collectivement… Ça représente si peu de frais comparativement aux inconvénients pécuniaires d’une intrusion par la force.