Défis du Parc: rencontre avec Laurie Gauthier

Encore cette année, l’Hebdo et l’organisation des Défis du Parc partent à la rencontre de participants aux Défis du Parc en septembre. À travers leurs chroniques, ils vous partagent leur parcours et leurs motivations à prendre part à cet événement de renommée, et ce, année après année!

Âgée de 21 ans, Laurie Gauthier prendra part à ses tous premiers Défis du Parc, alors qu’elle sera sur la ligne de départ du défi course en sentier 14 km.

« Depuis mon tout jeune âge, le sport fait partie intégrante de ma vie, raconte celle qui a grandi à Saint-Jean-des-Piles. Mon quotidien se divisait entre les heures d’entrainement passé à la gymnastique, les sorties matinales de course à pied, dans le but de réaliser le Grand Défi Pierre Lavoie à trois reprises, les sports de saison tels que le flag-football, le ski et le vélo. Cependant, une fois arrivée au Cégep, un déménagement plus tard, mon mode de vie est tombé de plus en plus sédentaire.

La jeune femme raconte que ses périodes d’activités physiques étaient peu fréquentes et qu’elle avait besoin de retrouver la motivation.

« Un an plus tard, j’ai décidé de m’inscrire au baccalauréat en Kinésiologie à l’UQTR en me disant que ce programme pourrait me permettre de retrouver le plaisir et ma motivation manquante pour reprendre le sport; ce que j’aimais tant faire. Une fois le bacc enclenché et un horaire surchargé, l’activité physique s’est réintégrée dans mon quotidien.

À vos yeux, en quoi les Défis du Parc se démarquent-ils des autres événements ?

« Ma participation au Défi du Parc est tout d’abord à des fins personnelles et pour aussi encourager cet évènement à but non lucratif qui n’est pas seulement pour les plus grands cyclistes ou coureurs de ce monde. Plusieurs types de défis y sont offerts dans le but d’aller chercher un plus large éventail de participants. Aussi, ces défis ont lieu dans le magnifique Parc national de la Mauricie, donc quoi de mieux que de faire de l’activité physique en plein air tout en ayant accès à d’admirables points de vue! »

Qu’auriez-vous à dire à une personne qui n’ose pas embarquer dans une telle aventure?

« En tant qu’étudiante de 3e année en kinésiologie, il est évident pour moi de penser aux personnes qui craignent de s’inscrire par peur de se blesser ou parce qu’elles pensent ne pas avoir la forme physique adéquate pour participer à l’évènement. De par ces propos, il faut savoir que le fait de faire de l’activité physique, faite de manière adéquate et propre à chacun, diminue les risques de blessures pouvant arriver dans les activités de la vie quotidienne, soit en améliorant ou en maintenant une bonne santé physique. Aussi, pour les personnes qui ne trouvent pas nécessaire d’intégrer l’activité physique dans leur quotidien, cet évènement peut être une belle occasion pour s’y initier, par exemple lors de la marche! »

Laurie Gauthier rappelle que l’activité physique est bénéfique à tous.

« Elle peut entre autres diminuer les risques de développer du diabète de type II, de l’hypertension artérielle, de l’hypercholestérolémie, de l’insuffisance rénale et j’en passe! »